2000

Roman Vainsteins

couronné à Plouay, France

=> Vidéo de l'arrivée : cliquez ici <=

Circuit dur mais un emballage final superbe : Vainsteins, coureur régulier jusqu'à son titre, méritait au moins une classique, ce fut le Mondial !. la Lettonie inscrit son nom sur les tablettes. Tchmil à droite est repris après son attaque qui a bien faillit aller au bout mais les espagnols avaient décidés de jouer la carte Freire et 18 coureurs passeront le russo-belge
Vainsteins donc, 2ème Z. Spruch (Pol), suivent Oscar Freire (Esp), Michele Bartoli (ita) T. Steinhauser (All), N. Aebersold (Sui), S. Sunderland (Aus), C. Mac Rae (Usa), P. Bettini (Ita), Francesco Casagrande(Ita) M. Boogerd (Pb), Axel Merckx (Bel), G. Stangelj (Slo), N. Axelsson (Sue), D. Bruylandts (Bel), Oscar Camenzind (Sui)... et les italiens dans tous ça ? et bien allez voir plus bas
la tentative de Tchmill avec Bartoli Di Luca, Brochard

la tentative de Casagrande

et la dernière de

Tchmil

Tchmil qui sera repris dans le sprint  

D'un jeune correspondant, une petite rubrique sur les déboires des 2 grosses équipes ( Italie - Espagne ) :

"Dans le dernier tour l'on eut d'abord droit a 2 attaques du futur 4e Michele Bartoli, le favori, qui semblait très nerveux : Pourquoi ne se réserva-t-il pas pour 1 unique attaque dans la toute dernière ascension ? cela le perdra dans le sprint. 2 attaques, c'est aussi ce que fit le belge Andreï Tchmil, repris a seulement 80-90 mètres de la ligne: son malheur vint en fait des radios espagnoles: elles avaient critiquées la sélection espagnole, déchue de toutes les plus grandes stars ibériques : les coureurs étaient ultra-remontés et firent donc le maximum pour le sprint massif, leur grande chance avec le champion en titre Oscar Freire. Mais celui-ci démarra son sprint en touchant la roue arrière de Bartoli, et le temps de relancer il ne pu faire mieux que 3ème. Jour maudit pour Bartoli : son équipier Paolo Bettini (équipier aussi dans son équipe de marque, la Mapeï) refusa, subitement, sous la flamme rouge, de lui emmener le sprint, parce qu'il s'était jugé alors plus à même de l'emporter, et pourtant il fera beaucoup moins bien !
Bartoli criera la chose suivante dans le bus de l'équipe après l'arrivée : "des cons, ce sont tous des cons !". Il faut dire que la course des italiens avait été catastrophique ! la tactique de Fusi s'était avérée être très contestable..."


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